Selon un rapport de recherche*, moins d’une personne sur dix a signalé les faits ou porté plainte après avoir subi du harcèlement de rue à Montréal. Plusieurs personnes interrogées ont mentionné que « ce n’était pas assez grave », ou qu’elles « avaient peur de ne pas être prises au sérieux », « ne savaient pas à qui s’adresser » ou « avaient peur de représailles ».